Le journaliste syndicaliste, Sékou Jamal Pendessa condamné en première instance au TPI(Tribunal de Première Instance) de Dixinn n’aura pas eu tort d’interjeter appel. Il peut même s’estimer heureux. Car en plus d’une réduction de peine il bénéficie aussi d’une relaxe.
Après avoir passé près de quarante (40) jours en prison, le journaliste et syndicaliste, Sékou Jamal Pendessa recouvre la liberté et retrouve les siens.
Condamné en première instance par le TPI (Tribunal de Première Instance) de Dixinn, le 23 février, à six (6) mois de prison dont trois (3) ferme, le journaliste syndicaliste peut se réjouir d’avoir interjeté appel auprès de la Cour d’appel de Conakry.
Celle-ci lors de son audience de ce mercredi 28 février, a infirmé la décision du TPI de Dixinn à l’encontre du prévenu.
Donc contrairement au jugement en première instance, la Cour d’appel de Conakry a condamné Pendessa à 3 mois d’emprisonnement dont un mois 6 jours ferme et le reste assorti de sursis et 500 000 gnf d’amende.
Rappelons que le Secrétaire Général du SPPG était poursuivi pour “participation délictueuse à une réunion sur les lieux publics, participation délictueuse à un attroupement, complicité, atteinte et menace à l’ordre public arti: 634, 627 19”.
Nous y reviendrons plus en détail dans nos prochaines publications.
Kibanyiguinee.info
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